Le
chapitre II intitule PROLETAIRES ET
COMMUNISTES dès son entame traite de la
position que doit prendre le parti communiste face à l’opposition entre
bourgeois et prolétaires. Le parti communiste étant contre les bourgeois soutient
donc les prolétaires et propose la voie à suivre pour remporter cette lutte.
Parmi les solutions à mettre en place, celle majeure est l’abolition de la propriété
privée propre à la classe bourgeoise.
Les
caractères transnationaux de la lutte du parti communiste et sa vision globale
de la situation entre prolétaires et bourgeois distinguent le parti communiste
des autres partis ouvriers. Les
communistes se posent des questions sur la nature de la propriété. Est-ce que
tout profit peut être appelé propriété ? des ouvriers qui travaillent pour
la bonne marche de la production ne se
suffisent que de leurs salaires ne leur permettent pas ainsi de se faire des
profits.’’ […], c'est-à-dire la somme des moyens de subsistance nécessaires
pour maintenir en vie l'ouvrier en tant qu’ouvrier’’.
Ensuite
une série de reproches est notée entre bourgeois et prolétaires. Chacun se
jetant des pierres. Les bourgeois taxant les communistes de vouloir déranger
l’ordre social déjà établi aussi sur le plan culturel, familial etc.
Enfin la tâche
des communistes est d’aider à prendre conscience de qui ils sont, de leur
force, et de leur capacité à renverser la classe bourgeoise. Ils proposent
aussi un certain nombre de proposition au cas où ce renversement devrait se
tenir.
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